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Coupes sombres dans le budget de l’ ?ducation Nationale, réformes régressives, discours agressifs qui n’a pas l’impression d’être, dans l’exercice de son métier, en classe, dans l’établissement ou dans la sphère publique, dos au mur ? Les militants du SNES, à tous les niveaux, sont souvent occupés à parer les coups.
De ce point de vue, le congrès n’offrira pas de trêve ! Mais c’est malgré tout l’occasion d’embrasser toutes les questions qui se posent à notre organisation : l’organisation du collège et du lycée, la démocratisation, les services publics, les droits des salariés, l’avenir du syndicalisme... Les « pré-rapports » publiés dans l’Université Syndicaliste mi-janvier ont fait l’état de la réflexion, posé les problèmes, suggéré des solutions.
C’est maintenant à tous les syndiqués du SNES de prendre part aux débats, quel que soit leur degré d’engagement dans la vie de leur syndicat. Ils le pourront en débattant dans leur section d’établissement, puis en mandatant l’un ou plusieurs d’entre-eux, afin de se faire représenter au congrès. Ces représentants pourront ainsi prendre part aux votes pendant le congrès. Ils le pourront aussi en assistant au congrès lui-même (chaque syndiqué en a le droit, même sans mandat de sa section), ou aux commissions préparatoires qui se tiendront lundi 12 mars puis mercredi 21 mars. Cette participation des syndiqué-e-s et des sections d’établissement est essentielle, puisque c’est à l’occasion du congrès que se fixent les mandats du SNES.
Que doit faire le SNES-FSU, aujourd’hui, de la réforme du lycée ? Que propose-t-il pour la formation des enseignants, des CPE et des conseillers d’orientation psychologues ? Quel collège défend-il ? Quelle position doit-il prendre face aux nombreuses propositions de réforme de nos statuts ?
C’est à vous de choisir, alors participez et faites participer les syndiqué-e-s au congrès académique !