Réunis en heure d ?information syndicale à l ?initiative de la section du SNES-FSU, 16 enseignants du collège René Barthelemy de Nangis réitèrent leur demande d ?une suppression définitive du Livret personnel de compétences (LPC) que le ministre Peillon lui-même a qualifié de « casse-tête stérile pour les professeurs ».
Imposé sans concertation à la profession en 2005, chronophage et ne garantissant pas la protection des données personnelles des élèves, le LPC n ?apporte rien et doit être abandonné à l ?occasion de la discussion de la loi d ?orientation bientôt débattue au Parlement.